VENDRE UNE PETITE ENTREPRISE DE MECANIQUE : PAS SI COMPLIQUE……
La mécanique est un secteur réputé difficile compte tenu des nombreuses délocalisations de fabrication intervenues au cours des vingt dernières années au profit de l’Asie et des pays de l’Est Européen
Mr X est gérant depuis plus de quinze ans de la SARL MECANIQUE . Cette société est active dans la mécanique de précision et a un chiffre d’affaires stable de 500k€ ; elle n’a jamais dégagé de résultat important mais au fil du temps les profits non distribués ont généré une trésorerie conséquente ; par ailleurs le gérant bénéficie d’un salaire élevé et dispose d’une voiture de luxe. Il n ‘y a aucune prospection commerciale, la société réalisant des pièces en petite série de haute technicité sur un secteur de niche .
Mr X arrive à l’âge de la retraite et ne sait comment se débarrasser de la société sans la fermer, licencier un personnel fidèle auquel il est attaché et perdre en frais de licenciement la trésorerie accumulée.
Suite à une recommandation , il fait appel à Francession : objectif : faire reprendre la société avec son personnel et sauver le maximum de la trésorerie disponible.
La société a un portefeuille de clients intéressants et fidèles ; les pièces de haute technicité sont commandées en petite série et leur valeur n’impacte pas de façon importante le prix des produits finis.
Repreneur idéal :
un confrère souhaitant compléter sa production , étoffer sa clientèle et profiter d’une main d’œuvre expérimentée
ou une personne physique recherchant une primo acquisition
Compte tenu de la trésorerie disponible, le financement de la reprise ne devrait pas poser de problème majeur.
Très vite plusieurs repreneurs se manifestent et la société est cédée pour le montant de la trésorerie disponible plus 20% avec un accompagnement de 6 mois rémunéré pour le cédant.
Grâce à la niche fiscale du départ en retraite le prix subira une imposition réduite de 22% environ alors que la récupération de la trésorerie par voie de distribution de dividendes aurait été taxée jusqu’à 45%.
Les emplois sont sauvés, la reprise n’a pas demandé un effort financier important au repreneur et celui-ci ,qui souhaite faire une autre acquisition pourra négocier une indemnité d’éviction s’il déménage la production dans une banlieue moins résidentielle.
Pour en savoir plus :
http://www.francession.com