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Connu pour la location de potagers sur les toits en plein cœur des villes auprès des particuliers, Peas&Love a développé un nouveau concept de fermes urbaines « tiers-lieux » à destination des foncières immobilières et des entreprises. Pour accélérer sa croissance, la start-up annonce une levée de fonds de 1,3 M€ auprès de GoGreen Capital et Eutopia, actionnaires historiques, Issarts Invest ainsi que d’autres family offices français.
Créé en 2016, Peas&Love offrait jusqu’alors un espace de loisir aux urbains avec la location de parcelles potagères entretenues pour y faire pousser fruits et légumes. Depuis l’été 2020, Peas&Love est porté par un nouveau tandem : Maxime Petit, agriculteur et Nicolas Brassier, entrepreneur. Ensemble, ils ambitionnent de réinventer les écosystèmes agricoles urbains & péri-urbains et de faire de Peas&Love un acteur incontournable de la reconnexion des citadins à la nature, à l’agriculture et à l’alimentation saine et durable.
Fort de son savoir-faire dans la gestion de tiers-lieux, Peas&Love déploie son concept en B2B auprès des foncières immobilières et des entreprises. Loin d’être ornementales, les fermes urbaines de Peas&Love sont conçues comme des espaces de détente offrant une expérience humaine et sensorielle forte, pour amener les habitants des villes à réfléchir à la façon dont ils vivent et consomment, à changer leur rapport à l’agriculture locale et à l’alimentation de saison. Peas&Love propose aux entreprises et aux foncières une série d’activités ludiques et pédagogiques autour de ces espaces : apprendre à entretenir et à récolter les légumes, échanger sur le cycle des saisons, etc. Cette approche s’inscrit dans les stratégies RSE/ESG des entreprises et des foncières immobilières désireuses de s’engager dans la transition verte des villes.
C’est le cas de la Société Foncière Lyonnaise. Aude Grant, directrice générale adjointe Asset management et Investissements, chez Société Foncière Lyonnaise, déclare : « Nous sommes ravis d’intégrer dans la conception de nos actifs un service tel que celui de Peas&Love. Demain nous sommes convaincus que la valorisation de nos espaces extérieurs passera par ce type de lieu, et sera même nécessaire pour nos clients. »
BNP Real Estate, Le Ministère de l’économie et des finances, Covivio...ont également été séduits par le concept.
Peas&Love exploite aujourd’hui 7 fermes urbaines à Paris et Bruxelles, soit environ 9 000 m² de zones urbaines végétalisées (en B2C et B2B) et emploie 19 collaborateurs. Avec cette levée de 1,3 M€, Peas&Love prévoit l’ouverture de 7 à 10 fermes urbaines d’entreprise par an dès 2022.
Antoine Fine, Président d’Eutopia Gestion, explique : « Nous soutenons Peas&Love depuis 2018 via notre fonds Otium Consumer, persuadés que l’avenir de la ville passe par sa capacité à reconnecter les hommes et la nature. Nicolas et Maxime mènent un travail remarquable pour proposer une offre de lieux expérienciels à destination des grands donneurs d’ordre de l’immobilier urbain et nous sommes ravis de voir l’accélération de leur développement dans un monde qui a pris conscience des enjeux écologiques et sociétaux. »
Timothy Vander Elst, directeur chez GoGreen Capital, poursuit : « GoGreen Capital est heureux d’accompagner Peas&Love dans une nouvelle étape de son projet de reconnexion de l’homme à la nature au travers de fermes urbaines. La stratégie de déploiement du concept en B2B et en B2C s’inscrit parfaitement dans notre volonté de réancrer des territoires, de créer des lieux de rencontres autour d’une thématique nécessaire à la transition des villes et de l’agriculture locale. »
Nicolas Brassier, CEO de Peas&Love, conclut: « Nous remercions nos actionnaires pour leur confiance (Eutopia, Otium, GoGreen Capital, la famille Faiveley via Issarts Invest ainsi que d’autres family offices français) et enfin nos conseils (Impulsa) pour nous avoir permis d’entrer dans cette nouvelle étape de notre développement. »
A propos de Peas&Love :
Peas&Love, ce sont 7 fermes urbaines expérientielles à Paris et à Bruxelles, « des tiers-lieux » vivants et source de partage à travers lesquels nous permettons aux urbaines de se reconnecter à la nature, de recomprendre le cycle des saisons, et de reprendre possession de l'espace urbain.
Source : Communiqué de presse
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