De nombreux repreneurs de sociétés sont étonnés par le parcours du combattant que représente le rachat d’une PME :

• Identification des cibles
• Analyses et audits en tout genre (fiscaux, sociaux, juridiques, comptables, financiers,…)
• Montages financiers
• Montages juridiques
• Délais de négociation très longs
• Valorisation parfois démesurées, alors que la cible est peu ou pas profitable….

Un nombre croissant de ces candidats repreneurs se tourne vers la reprise d’entreprises en difficultés, car avec l’aide d’un bon conseil, ces procédures présentent de nombreux avantages :

• Nombreuses cibles : 55 à 60.000 procédures par an
• Délais de traitement rapides : entre le dépôt des offres fixé par le Tribunal et l’entrée en jouissance par le repreneur : 45 jours en moyenne
• Absence de reprise des dettes (sauf cas particulier)
• Faiblesse du prix proposé pour les actifs repris (décote très importante par rapport à la valeur de marché)
• Adaptation des effectifs repris au chiffre d’affaires escompté : les effectifs non repris seront licenciés par les organes de la procédure et non par le repreneur.

Pour ce type de reprise, comme il le fait dans le cadre de la reprise d’une société saine, le candidat repreneur commencera par analyser le marché et les forces et faiblesse de la société cible.

En revanche, il n’aura pas à « acheter les résultats futurs » à partir d’une valorisation calculée sur les résultats passés.
Dans la mesure où il ne reprend que les actifs sans dettes et une partie des effectifs salariés, sa valorisation du prix proposé sera établie en fonction du carnet de commandes et des prévisions d’exploitation « court terme » qu’il aura établi.
Ces reprises peuvent représenter des opportunités d’acquisition à des conditions financières très attractives.

Le cabinet d’expertise comptable IN EXTENSO, qui dispose d’une cellule dédiée à l’accompagnement de société en difficultés, nous a fait part de 2 exemples récents :

• Un restaurateur parisien, qui venait de vendre son restaurant pour 130% de son chiffre d’affaires, disposait de 200 K€. A la recherche d’un établissement à reprendre à Paris dans le 15ième arrondissement, il a identifié un restaurant en liquidation judiciaire générant en 2009 un chiffre d’affaires de l’ordre de 500 K€. Avec l’aide du cabinet IN EXTENSO, il a déposé une offre de 80 K€ pour la reprise des actifs (incorporels, corporels et stocks) et de 70% des effectifs salariés. Cette offre a été retenue par le tribunal.

• Une personne physique, ancien cadre dirigeant de PME associé à un petit fonds d’investissements, a repris pour un prix de cession de 300 K€, la totalité des actifs et 60% des effectifs d’une société spécialisée dans la fabrication de colle industrielle, réalisant un chiffre d’affaires annule de l’ordre de 8 M€ et disposant d’actifs supérieurs à 1,5 M€.

Toutes les cibles (fonds de commerce ou PME) ne présentent pas un intérêt systématique.
Toutefois, ce marché de la reprise d’entreprises en difficultés comporte de très nombreuses opportunités et quelques « pépites ».
IN EXTENSO possède une entité dénommée DELFINEO, dédiée à la reprise de PME et fonds de commerce en difficultés. N’hésitez pas à contacter son dirigeant Monsieur Christophe CALLET :
Mail : christophe.callet@inextenso.fr
Ligne Directe : 01.72.29.62.22